Je m’appelle Brume Allegrini (Elle), je suis une artiste queer et trans.
Mes formes organopsychéennes sont parcourues par de nombreuses fluidités, du début
jusqu’à la fin et de la fin jusqu’à un renouveau.
Elles sont autant de choses sensibles auxquels je donne vie, évoluent, changent, bougent, se
déploient dans un tout complexe et grouillant.
Telle une sorcière-alchimiste, j’anime, je donne vie à mes mondes intérieurs, imaginaires, où
réalité et fiction se croisent.
J’ai une pratique de la sculpture, de la peinture, de l’écrit, du son, de la vidéo, de la recherche,de l’installation avec une approche expérimentale du numérique.
La place de la mort dans mon travail est très importante, je ne la vois pas comme quelque chose de néfaste, j’apprends à la côtoyer et à apprendre d’elle, lié au passage du temps, ce qui
a été ce qui est et ce qui sera.
Sa présence se fait sentir à travers mes visions, carcasses et ruines, des fragments temporels.
La mort n’est pas la seule à avoir une place importante dans mon cœur, elle est accompagnée de la naissance.
Mes créatures, mes monstres, mes organismes, mes mondes se métamorphosent sans cesse, leur existence est impossible sans cette force matricielle.
La Naissance
La vie, la mort, puis la vie
Renaissance et renouveau
Le cycle éternel
La métamorphose
Læ vivant·e et læ non-vivant·e
L’humain·e et læ non-humain·e
L’inconnu·e qui se dévoile à travers la brume